African Commission on Human and Peoples’ Rights
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ISHR staff Adélaide speaking at the

Commission africaine des Droits de l’Homme et des Peuples

La Commission africaine des Droits de l’Homme et des Peuples est le principal organisme des droits humains en Afrique, tenant des sessions publiques deux fois par an au cours desquelles la conformité des États à la Charte africaine des droits de l’Homme et des Peuples est examinée.

Avant ces sessions, les défenseur·e·x·s des droits humains se réunissent au Forum des ONG pour discuter des préoccupations relatives aux droits humains et exhorter la Commission à agir. Un tel engagement est essentiel pour renforcer le système africain des droits humains.

Depuis plus d’une décennie, ISHR s’est engagé activement auprès de la Commission. Par le lobbying, le soutien aux rapporteur·e·x·s spéciaux, l’adhésion aux groupes de travail de la Commission et au Comité directeur du Forum des ONG, et par la publication de rapports semestriels et de suivis périodiques des sessions du Forum des ONG et de la Commission, ISHR contribue à la construction de ce système des droits humains.

Dernières informations

Conclusions de la 85e session de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples

À l’occasion de sa 85e session, la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples a examiné les rapports périodiques de l’Égypte, de la Tunisie et du Botswana, ainsi que le rapport de la mission d’enquête sur la situation au Soudan, et a organisé des tables rondes sur l’élimination de la discrimination raciale, l’externalisation de la gestion des flux migratoires et le droit à un environnement sain.

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Représailles | Nouveau rapport d’ISHR : Les représailles liées à l'engagement avec le système africain des droits humains doivent être adressées

Pour que le système africain des droits humains fonctionne au mieux de ses capacités, les défenseur.es des droits humains doivent être en mesure de partager des opinions et informations cruciales concernant les situations sur le terrain. Cependant, de nombreux défenseur.es sont toujours confrontés à des risques inacceptables et ne sont pas en mesure de coopérer en toute sécurité avec le système africain des droits humains.