Remerciement
Merci pour votre don à ISHR.
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Les 23 et 24 octobre, lors de l’examen de la France par le Comité des droits de l’Homme de l’ONU, le cas d'Adama Traoré a illustré de graves inquiétudes concernant les violences policières et leur impunité.
Zholia Parsi d’Afghanistan et Manuchehr Kholiqnazarov du Tadjikistan recevront le prix Martin Ennals 2024 en reconnaissance de leur travail dans des environnements profondément répressifs.
Depuis 40 ans, ISHR soutient les défenseur⸱e⸱x⸱s des droits humains dans le monde entier afin de faire entendre leurs voix en toute sécurité et de bâtir à leurs côtés un monde plus juste. Mais ce travail est de plus en plus menacé et nous avons plus que jamais besoin de vous.
Le 6 novembre 2024, la Commission Africaine a conclu sa 81e session, marquée par l’examen périodique de l’Angola et du Burkina Faso et les lancements de la Déclaration +25 et de l’outil de suivi de la liberté d’association et de réunion.
Suite à son intervention d’intersession, ISHR a fait une déclaration demandant au Rapporteur spécial sur les défenseurs des droits de l’Homme de publier son rapport tant attendu sur les représailles et de rappeler aux États leurs obligations de garantir un environnement sûr aux défenseur·e·x·s.
Lors de l’examen du rapport périodique du Burkina Faso par la Commission Africaine, ISHR a noté avec inquiétude une augmentation des cas d’arrestation, d’enrôlement et d’enlèvement de personnes militant pour les droits humains, dont certaines sont directement envoyées au combat.
Lors d’une réunion parallèle sur le rôle du système africain des droits humains dans le conflit à Gaza, les États et la Commission Africaine ont été exhortés à faire en sorte qu’Israël mette fin à l’occupation illégale des territoires palestiniens et respecte les normes internationales en matière de droits humains.
À la suite de l’examen périodique de l’Angola, nous appelons le Gouvernement angolais à faire plus pour protéger et soutenir le travail des défenseur·e·x·s des droits humains, des journalistes et des organisations de la société civile.
Nous exhortons tous les États africains, notamment le Burkina Faso, Maurice et la République démocratique du Congo, à accentuer leurs efforts pour garantir la sécurité des défenseur·e·x·s et les soutenir dans leur travail essentiel.