Site search

Profil de défenseure : Angélique Razafindrazoary, de Madagascar

« Il n’existe actuellement aucune loi protégeant les défenseur·e·x·s des droits humains à Madagascar. Nous avons besoin que cette loi soit adoptée. L’armée et la gendarmerie doivent être formées pour comprendre qui nous sommes, afin que ces entités deviennent nos alliées. »

Leurs voix défendent les droits humains. Les interdictions de voyager les réduisent au silence : #EndReprisals

Certains États utilisent l'interdiction de voyager comme mesure de représailles contre les personnes qui défendent les droits humains qui coopèrent avec les Nations unies. Ces actes de représailles visent à les isoler, les intimider et les réduire au silence. Rejoignez notre campagne pour mettre fin aux représailles et aux interdictions de voyager contre les défenseur·e·x·s.

ISHR publie un rapport sur la situation des défenseur·e·x·s dans les Etats insulaires africains

Que signifie être défenseur·e·x des droits humains dans un pays insulaire d'Afrique ? Notre nouveau rapport met en lumière les réalités vécues par les défenseur·e·x·s dans six pays souvent négligés : le Cap-Vert, les Comores, Madagascar, Maurice, Sao Tomé-et-Principe et les Seychelles. Une chose est claire : les défenseur·e·x·s des droits humains dans ces pays sont des personnes actives, courageuses et engagées dans la construction de sociétés plus inclusives et plus justes.

Rapport : Les efforts de la Chine pour bloquer l’accès de la société civile aux Nations unies

Dans un nouveau rapport, ISHR analyse les tactiques de la Chine visant à restreindre l'accès des acteurs indépendants de la société civile aux organes de l'ONU chargés des droits humains. Le rapport fournit une analyse de l'adhésion de la Chine au Comité des ONG de l'ONU, de la présence croissante des ONG affiliés au gouvernement chinois, et des actes systématiques d'intimidation et de représailles du gouvernement chinois.

Un nouveau rapport de ISHR révèle les tactiques de la Chine pour bloquer l’accès de la société civile à l’ONU

Dans un rapport publié ce jour, le Service International pour les Droits de l'Homme (sigle anglais ISHR) examine les efforts déployés par la Chine pour restreindre l'accès de la société civile et des défenseur·e·x·s des droits humains aux Nations unies. Le rapport fournit une analyse de l'appartenance de la Chine au Comité des ONG de l'ONU, de la présence croissante d'ONG affiliées au gouvernement chinois, et des actes systématiques d'intimidation et de représailles du gouvernement chinois.