HRC | Un an après le meurtre de George Floyd, les voix des familles de victimes et de leurs défenseur.es demeurent cruciales à l'ONU
En réaction au meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020 aux Etats-Unis, les défenseur.es antiracistes et les familles de victimes ont réussi à renverser la vapeur à l'ONU sur la question du racisme anti-Noir.es et des violences policières. Dans une nouvelle vidéo diffusée aujourd'hui, ISHR met en lumière leurs contributions essentielles, en hommage à George Floyd et à toutes les victimes de violences policières à caractère raciste.
Le meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020, a non seulement provoqué des semaines de manifestations massives à travers le monde, mais a également transmis un sentiment d’urgence, des rues de Minneapolis jusqu’au Palais des Nations à Genève, où s’est tenu, le 17 juin 2020, un débat historique au Conseil des droits de l’Homme sur la question des violations des droits humains à caractère raciste, le racisme systémique, les violences policières contre les personnes d’ascendance africaine et les violences contre les manifestant.es pacifiques.
Dans une nouvelle vidéo intitulée « De la rue à l’ONU », ISHR met en lumière à quel point les contributions des défenseur.es et des familles de victimes sont essentielles et pourquoi leurs voix doivent continuer à résonner à l’ONU.
Lors de la 83e session ordinaire de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, le Zimbabwe a présenté son 16e rapport périodique. Couvrant la période 2019-2023, il prévoit plusieurs réformes institutionnelles et législatives.
Le 8 mai 2025, lors de sa 83e session, la Commission Africaine a organisé une table ronde pour tenter de tirer les leçons du génocide perpétré contre les Tutsi·e·x·s au Rwanda, d’examiner les défis actuels en matière de droits humains dans les situations de conflit et de discuter de la problématique de la justice transitionnelle.
En marge de la 83e session de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, ISHR a présenté son premier rapport sur la situation des défenseur·e·x·s des droits humains dans les États insulaires africains : le Cap-Vert, les Comores, Madagascar, Maurice, São Tomé-et-Príncipe et les Seychelles.