HRC | Un an après le meurtre de George Floyd, les voix des familles de victimes et de leurs défenseur.es demeurent cruciales à l'ONU
En réaction au meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020 aux Etats-Unis, les défenseur.es antiracistes et les familles de victimes ont réussi à renverser la vapeur à l'ONU sur la question du racisme anti-Noir.es et des violences policières. Dans une nouvelle vidéo diffusée aujourd'hui, ISHR met en lumière leurs contributions essentielles, en hommage à George Floyd et à toutes les victimes de violences policières à caractère raciste.
Le meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020, a non seulement provoqué des semaines de manifestations massives à travers le monde, mais a également transmis un sentiment d’urgence, des rues de Minneapolis jusqu’au Palais des Nations à Genève, où s’est tenu, le 17 juin 2020, un débat historique au Conseil des droits de l’Homme sur la question des violations des droits humains à caractère raciste, le racisme systémique, les violences policières contre les personnes d’ascendance africaine et les violences contre les manifestant.es pacifiques.
Dans une nouvelle vidéo intitulée « De la rue à l’ONU », ISHR met en lumière à quel point les contributions des défenseur.es et des familles de victimes sont essentielles et pourquoi leurs voix doivent continuer à résonner à l’ONU.
Assa Traoré, femme défenseure des droits de l'homme et sœur d'Adama, victime de violences policières à caractère raciste, a subi des représailles de la part de groupes d'extrême droite et du syndicat de la police suite à sa participation au CERD
Les 47 États membres du Conseil des droits de l'homme de l'ONU doivent décider de soutenir ou de s'opposer à un débat de l'ONU sur les droits humains au Xinjiang. Des centaines de groupes ouïghours et internationaux de défense des droits humains, ainsi que plus de 40 experts de l'ONU, réclament depuis longtemps la mise en place d'un mécanisme de suivi de la Chine mandaté par l'ONU.
Plus de deux ans après le meurtre horrible de George Floyd, les organes des Nations Unies chargés des droits de l'homme tirent la sonnette d'alarme sur le manque de progrès dans la lutte contre la violence policière et le racisme systémique dans le monde.