© Zdravka Boudinova for Fine Acts
ISHR offre son soutien et sa solidarité aux défenseur·e·x·s qui travaillent sur les questions d'égalité et de non-discrimination.
Les droits à l’égalité, à un traitement équitable et à la protection contre la discrimination sont fondamentaux pour la dignité humaine. Ils sont d’ailleurs inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme, dans tous les traités fondamentaux des droits humains et dans de nombreuses lois et constitutions nationales.
De nombreux·se·x défenseur·e·x·s des droits humains se consacrent à garantir que toute personne et toutes les communautés soient traitées de façon équitable et juste et à résoudre les problèmes de discrimination généralisée, comme le racisme, le sexisme ou la misogynie systémiques. La plupart des défenseur·e·x·s sont directement victimes de discrimination en raison de leur race, de leur genre, de leur orientation sexuelle, de leur identité et expression de genre, de leurs caractéristiques sexuelles ou d’autres motifs.
À travers ce programme, ISHR offre son soutien et sa solidarité aux défenseur·e·x·s qui œuvrent en faveur de l’égalité et de la non-discrimination. Ces militant·es comprennent notamment les femmes défenseures des droits humains, les défenseur·e·x·s travaillant sur les questions d’orientation sexuelle, d’identité ou d’expression de genre et de caractéristiques sexuelles, les défenseur·e·x·s des droits des personnes migrantes ou réfugiées, les défenseur·e·x·s qui luttent contre le racisme et pour les droits des personnes noires, autochtones et de couleur, ainsi que toutes les personnes qui œuvrent à éliminer les structures patriarcales, racistes, capitalistes, colonialistes et autrement oppressives.
Trouvez ci-dessous nos plus récentes informations sur ce sujet.
Les 23 et 24 octobre, lors de l’examen de la France par le Comité des droits de l’Homme de l’ONU, le cas d'Adama Traoré a illustré de graves inquiétudes concernant les violences policières et leur impunité.
Zholia Parsi d’Afghanistan et Manuchehr Kholiqnazarov du Tadjikistan recevront le prix Martin Ennals 2024 en reconnaissance de leur travail dans des environnements profondément répressifs.
Lors d’une réunion parallèle sur le rôle du système africain des droits humains dans le conflit à Gaza, les États et la Commission Africaine ont été exhortés à faire en sorte qu’Israël mette fin à l’occupation illégale des territoires palestiniens et respecte les normes internationales en matière de droits humains.
Nous exhortons tous les États africains, notamment le Burkina Faso, Maurice et la République démocratique du Congo, à accentuer leurs efforts pour garantir la sécurité des défenseur·e·x·s et les soutenir dans leur travail essentiel.
Une réunion en marge de la 81e session de la Commission a levé le voile sur les restrictions aux activités des défenseur·e·x·s en Côte d’Ivoire,, le rétrécissement de l’espace civique et les menaces particulières qui pèsent sur les militant·e·x·s des droits des personnes LGBTIQ+.
Suite à la présentation des rapports d’activité de la Rapporteure spéciale sur les droits des femmes devant la Commission africaine, ISHR s’est fait l’écho d’un appel collectif en faveur de la protection des femmes défenseures au Soudan.
