Site search

Un mécanisme de protection efficace est essentiel pour la mise en œuvre de la loi sur les défenseur·e·x·s au Burkina Faso

À l'issue d'une consultation stratégique de deux jours qui s'est tenue à Ouagadougou, au Burkina Faso, le Mécanisme National de Protection des Défenseur·e·x·s des Droits Humains a adopté son plan d'action 2024 pour renforcer ses capacités internes et consolider sa visibilité externe. Ce plan est crucial car il vise à renforcer son soutien aux défenseur·e·x·s dans un contexte où l'espace civique est de plus en plus étroit et où l'État se concentre sur les réponses à apporter au terrorisme.

Forum des ONG : Risques et opportunités pour le climat et la sécurité alimentaire en Afrique dans le cadre de l’Accord de libre-échange continental africain

Lors du Forum des ONG qui s’est tenu en amont de la 73e session de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, des représentant·es des mécanismes de l’ONU et de la société civile ont examiné les possibles incidences de l’Accord de libre-échange continental africain sur les changements climatiques, la sécurité alimentaire et les droits humains au sein des États signataires.

Les mécanismes de protection doivent collaborer avec les défenseur·es

Le 30 avril, ISHR a fait une déclaration à la suite de la présentation du rapport du Rapporteur spécial sur les défenseurs des droits de l’Homme en Afrique. Cette déclaration portait sur la nécessité d’impliquer la société civile dans les mécanismes de protection récemment mis en place à son intention et enjoignait au Rapporteur spécial de publier son premier rapport sur les représailles que subissent les personnes qui coopèrent avec les mécanismes africains des droits humains.

CADHP 69 : conclusions de la 69ème session ordinaire de la Commission Africaine

Depuis 2020, la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples tient ses sessions publiques virtuellement. À l’occasion de sa 69ème session, qui s’est tenue du 15 novembre au 5 décembre 2021, une formule hybride a été mise à l’essai : les Commissaires étaient réuni.es à Dakar, au Sénégal, tandis que les autres intervenant.es participaient à distance.

Burundi | Germain Rukuki enfin libre!

Suite à la réduction de sa peine injustifiée de prison, le défenseur des droits humains burundais est enfin libre ! ISHR s'associe à la joie de Germain et de ses proches, et remercie toutes celles et ceux ayant oeuvré à sa libération !

CADHP68 | Il faut protéger les défenseur.es contre les représailles en Afrique

Comme prévu aux articles 23-3 et 72 du Règlement intérieur de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, chaque commissaire doit présenter un rapport d’activité détaillant les actions menées dans le cadre de son mandat. À la suite de la présentation du rapport du Rapporteur spécial sur les défenseurs des droits de l’Homme en Afrique, ISHR a fait une déclaration dénonçant les violations et les représailles subies par les défenseur.es des droits humains sur le continent.

CADHP68 | Examen périodique de la République du Niger

La République du Niger est l’un des rares États africains à s’acquitter de ses obligations de rapport envers la Commission Africaine dans les délais prévus. Précédemment examinée en 2017, elle a présenté son 15e rapport périodique pour la période 2017–2019. Ce dernier présente les avancées réalisées par le pays en matière de droits humains.

ACHPR67 | Instauration de relations plus étroites avec les institutions nationales des droits de l’Homme pour une meilleure protection des défenseur.es

Read this article in English here

Depuis sa 47ème session ordinaire en 2010, la Commission Africaine des droits de l’Homme et des Peuples peut octroyer le statut d’« affiliée » à une institution nationale des droits de l’Homme, ce qui a permis de renforcer la collaboration entre ces parties prenantes. Toutefois, cette collaboration n’a pas encore réalisé entièrement son potentiel.

ACHPR67 | Examen périodique de la République du Cameroun

Read English version here

Conformément à l’article 62 de la Charte Africaine, les États ont l’obligation de soumettre un rapport tous les deux ans sur les mesures législatives, administratives et politiques prises en vue de donner effet aux droits humains énoncés dans la Charte. L’État du Cameroun, qui a ratifié la Charte en 1989, a soumis ses 4ème, 5ème et 6ème rapports périodiques.